Mina Ahadi n’est aucunement liée à la rédaction de ce site

« Je connais l’Islam et pour moi cela signifie la mort et la douleur »

« L’islam, fondamentalement, méprise l’être humain et la femme. »

Née en Iran en 1956, Mina Ahadi se voit exclue de l’université de Téhéran où elle étudiait la médecine aux premiers jours de la révolution islamique, parce qu’elle refuse de porter le tchador. Son mari résistant est tué par le régime. Communiste, elle rejoint les rangs des Kurdes au nord du pays, avant de fuir vers l’Autriche puis l’Allemagne, d’où elle poursuit son combat contre l’extrémisme islamique. En 2000, elle crée un comité contre les lapidations, et organise une campagne contre les crimes d’honneur en 2006. En 2007, Mina Ahadi a officiellement donné naissance à Berlin à l’association des ex-musulmans d’Allemagne. L’un après l’autre, une partie des 140 membres ont solennellement abjuré, devant la presse. Depuis, la vie de Mina Ahadi est en danger, et son escorte de policiers en civil ne la lâche plus des yeux.

-> lire les déclarations essentielles de Mina Ahadi